L’ouvrage est souvent drôle, parfois grinçant (les gloussements des autochtones devant les maladresses de la «débutante» me rappellent quelque chose) mais surtout terriblement évocateur. Pénélope B. lance son blog pour s’amuser et se prend au jeu rapidement. De là s’ensuivent les descriptions de l’angoisse de la page blanche quand le billet n’est pas terminé -voir pas commencé – à temps, le décompte du nombre de visites, les multiples consultations des commentaires… Si le prénom de notre bloggeuse avait de quoi me faire sourire, j’ai franchement beaucoup ri devant ce qui me rappelait étrangement mon quotidien.
Billets d’humeur, évocation d’une paire de ballerines ou d’un accessoire so hype au premier rang desquels les «menotinvan», bonne adresse à partager, réflexion quasi mystique sur le sujet du lendemain, nous y sommes, tout est là. La rédaction est souvent nocturne because activité professionnelle + vie de famille + vie tout court (comme dirait M’zelle Méca, «j’ai des amis») ne laissent que peu de latitude mais le rendez-vous est tenu sauf aléa technique (au passage, je n’ai toujours pas de TV et internet fait des caprices mais je préfère ne pas en parler sous peine de grandes eaux, pfff…).
Mais revenons à notre héroïne, cette Pénélope là n’attend pas son Ulysse mais trouve son Victor, Pénélope Jolicoeur nous régale des ses croquis (mention spéciale à la série Halloween, un pur régal) et votre Lady Penny ne pensait être accro aussi vite.
Il ne me reste plus qu’à attaquer la suite, Very Important Pénélope B. pour savoir ce qu’il advient de ma blogo-jumelle…
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